Les volcans sont derrière nous, la route serpente vers la mer.


Shimabara. Là où l'eau est claire que les carpes apparaissaient comme des joyaux. Un château surplombe la ville.


Au milieu de la rue coule un canal. Chaussure détrempée et rires. Quelques maisons de temps anciens.


Guzoni. Nous degustons un bouillon où mijotent champignons, poissons, légumes et mochi.


Les couleurs des carpes, palette vivante.


Un ferry où nous oublions de descendre. Un bus puis un autre puis nous voilà chez notre hôte. Udon improvisé au comptoir.


Bonheur des futons aux draps blancs sur les tatamis.